jeudi 10 février 2011

"L'Héritage" Christopher Paolini

« L’Héritage » Christopher Paolini
une trilogie



Titre original de 1er tome : « Eragon »
Genre : fantasy
Editeur : Bayard jeunesse





On trouve ici sans difficulté de McCaffrey, de Tolkien, d’Eddings, de Le Guin… La liste est longue. Paolini n’utilise pas de nouvelles d’idées. Il n’a pas inventé une histoire originale : il réutilise par exemple pour les dragon la télépathie (lien dragon-chevalier). Admettons, il y a tellement des livres sur les dragons que trouver des dragons originales est une mission impossibles. En effet cette saga n’apporte pas beaucoup des idées innovantes.
Ça pouvait être pire, mais surtout ça pouvait être beaucoup MIEUX. C’est la première chose à dire. Pour moi l’originalité c’est le critère le plus important, et dans ce cycle il en manque cruellement.  Puis un autre point capital sont les longueurs. En « Eragon » on pourrait aisément écrire les premières 100 pages en un chapitre de env. 20. Et les deux tomes suivant pourraient se passer de 2/3 de texte… C’est désespérant.
Voici une histoire d’un jeune homme qui pendant un très, très long voyage grandit loin de sa famille… Mais ce très, très long voyage a bien sûr un but bien précis – sauver le monde d’un très, très méchant Galbamachin. Il découvre ce but après la trouvaille d’une très, très mystérieuse pierre, qui en réalité est un œuf d’un dragon. Ce dragon est Saphire et Eragon devient un chevalier-dragon (ou un truc comme ça). Mais il ne part pas en voyage pour tout simplement sauver le monde – il souhaite aussi se venger. En effet le méchant à tué son oncle.  
En plus les personnages sont aussi plats que… hmm… c’est difficile de trouver une comparaison adéquate.  Les pires ces sont Eragon, Roland et Arya.
De l’action je vais pas causer longtemps, car il n’en a presque pas ! Il y un jeune ado qui veut sauver charitablement tout le monde d’un très, très méchant « mec ». N’oubliez pas, Eragon est évidement le plus intelligent et le plus fort. Et Galbamachin est tout simplement méchant et cruel.   
J’adore les noms des villes et des personnages : Alagaesia, , Uru’baen,  Waldenvarden…  Comment le cher C. Paolini a voulu que ses lecteurs mémorisent les noms pareils ?
Maintenant regardons le côté positif. Je n’avait pas besoin d’utiliser mon cerveau pendant cette lecture…

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