"La Guerre des Mouches" Jacques Spitz

"La Guerre des Mouches" Jacques Spitz

Genre : science-fiction

Editeur : Petite Bibliothèque Ombres

150 pages

      Un petit livre qui dit beaucoup. C’est un de mes livres préféré.

      La fin de l’humanité s’approche à grands pas. Mais à cause de quoi ? Tremblements de terre, explosions des volcans, météorites, guerre atomique… ? Non ! Ce sont les mouches qui causeront notre perte ! Magne, notre héros principal, scientifique et un passionné des mouches découvre une horrible vérité… Les mouches sont devenues intelligentes ! Leur arme ? Elles transmettent les maladies, tout simplement. Magne dévoile la vérité, mais personne ne veut le croire. Les mouches se propagent à travers le monde. Quand les mouches arrivent en Europe et la population admet que Magne a raison – il est déjà trop tard ! Rien ne font les efforts déployés contre elles. Les mouches sont en train de gagner…

      Le suspens dure de début à la fin. Les pages se tournent toutes seules.

      En lisant ce livre j’avais impression de lire plutôt un compte rendu qu’un roman. Mais l’effet final n’est pas de tout mauvais. Cette manière d’écrire donne au livre un aspect assez « synthétique ». Je veux dire par là qu’on n'a pas d’accès aux sentiments de l’héros principal. On n’en fait pas vraiment connaissance. C’est juste un « pion » qui a un rôle à jouer. L’auteur ne nous laisse pas nous attacher aux personnages. Cela dit, on a plutôt un aperçu des évènements consécutifs de la rencontre des deux espèces intelligentes. 

      Je conseille de lire « La Guerre de Mouches » vivement. L’auteur a eu une idée intéressante de la fin de l’humanité et l’a transmis avec l’originalité et talent. En plus il faut ajuter que l'histoire est vraiment crédible.

"L'Exil" Fiona McIntosh

« L’Exil » Fiona McIntosh

Le premier tome de « La trilogie Valisar »

Titre original : « Royal Exile »

Genre : fantasy

Editeur : Bragelonne

477 pages

      Voilà un livre qui a tombé entre mes main juste grâce à une jolie couverture…

      Peut-être ce n’est pas un livre phénoménal ou génial, mais j’ai passé avec lui un très bon moment. On a ici tout ce qu’il faut pour cela : action, suspense et trahisons.

      L’Ensemble est conquis par des barbares, ceux-derniers sont conduits par Loethar (un personnage assez curieux…). En Penraven (la partie la plus importante d’Ensemble), pendant que les barbares s’emparent de château des Valisars (famille royale), le roi prépare un plan pour sauver l’héritier, Leo. Ce dernier doit s’enfuir protégé par Gavriel. Le roi des barbares fait venir tous les Investies (les magiciens, on peut dire). Kirin et Clovis d’entre eux  vont jouer un rôle important en résistant au chef barbare. En même temps on se demande de quel côté se trouve Freath, l’ancien serviteur de la reine.

      L’univers n’est pas vraiment original, mais on y trouve quelques détails rafraichissants. L’atmosphère m’a plut : assez lugubre.

      L’histoire est intéressante et elle prend quelques tournants inattendus. Elle s’avance très vite – presque tout le temps quelques chose se passe. On ne s’ennuie pas. McInstosh évite la saturation en héroïsme pur et simple – ce qui n’est pas à me déplaire. Sauf peut être dans le cas de Leo et de Gavriel… Mais ça ne saute pas aux yeux tellement.

      Les personnages sont sympathiques. Mais c’est la seule chose que je suis capable de dire sur eux. Je n’aime pas trop Leo, qui est un peu stéréotypé. Par contre j’apprécie les Investies.

      Ce n’est pas un livre marquant, mais je lirai avec plaisir le deuxième tome.

"L'apprentie du magicien" Trudi Canavan

 « L’apprentie du magicien » Trudi Canavan

Préquelle de « La trilogie du magicien noir »

Titre original : « The Magician’s Apprentice »

Genre : fantasy

Editeur : Bragelonne

546 pages

      Ce livre m’a déçu. Pour Canavan il est très moyen. Il ne représente pas de tout la même qualité que « L’Age de Cinq ».

      L’histoire débute d’une façon assez intéressante. Voilà qu’on fait connaissance avec Tessia, la fille d’un guérisseur d’un village tranquille, qui semble ne rien menacer. Cette fille-là inspire qu'à une seule chose : devenir elle-même guérisseuse. Pourtant ses rêves peuvent être contrariés par la découverte soudaine de ses pouvoirs magiques… On rencontre aussi Hanara, esclave d’une magicien sachanien (Tokado), battu puis abondonné à son sort. Il n’arrive pas à gérer la liberté… et suppose que Tokado viendra le chercher. Au fil des pages Sarta apparait. C’est une jeune femme qui est allée vivre avec son père idéal au Sachaka. Hélas, celui-ci se révèle d’être qu’une illusion ! Au fond une guerre entre Kylarie et Sachaka se prépare.

      Voilà qu’on a des ingrédients pour un bon roman, peut-être pas original, mais avec de suspense… Mais dommage, Canavan n’arrive pas à tenir le rythme. Elle nous fournit des descriptions immenses (la nature, l’apprentissage…) qui suppriment sans pitié le suspense. Puis les dialogues ne vont pas mieux ( si longs !). Je ne peux m’empêcher d’écrire : TROP DE GUERRE ! Tout au long de livre : la guerre, la guerre et encore la guerre ! Le problème principal de Canavan ce sont les longueurs, tout simplement !

      Pour « L’Age de Cinq » j’admire l’originalité de l’univers. Ici je n’ai pas ressenti le même sentiment. Encore un monde à la Moyen Age, encore la magie et apprentissage, encore un héros principal extrêmement doué, encore la guerre… et même des pierres ayant des pouvoirs spéciaux. Oui, cela parait familier, très familier.

      Les héros sont un peu « plats ». Je ne me suis pas attachée ni à Tessia, ni à Dakon, ni à Jayan. Les seuls personnages que j’aime sont Sarta et Hanara. Les caractères noirs (Tokado et la campagne) ne sont pas de tout crédibles d’après moi.

      Personnellement, ce livre étant une préquelle, ne m’a pas donné envie de lire  « la trilogie du Magicien noir ».

      A la place de celui-ci je conseille de lire plutôt « La Prêtresse blanche » si vous voulez faire connaissance avec T. Canavan.

Bonjour!

Bonjour!

J’espère que vous allez passer un bon moment sur ce blog.

Quelques mots sur ce blog :

Ce blog je dédie donc aux livres. Je vais essayer de partager cette passion pour la littérature avec vous. Je vais vous décrire mes dernières découvertes – celles positives, comme celles décevantes.

Les livres,

sont un moyen de découvrir le monde. D’élargir nos horizons. De nous libérer de nos soucis quotidiens. Ou on peut tout simplement s’émerveilles devant la « magie » des mots. 

Je lis un peu de tout. Mais le plus, j’adore la littérature fantastique.

Pourquoi ?

Le fantastique est un genre assez récent. Donc un genre qui a un avenir devant lui. D’après moi, en moins. Pour les écrivains, il y a encore beaucoup de place pour inventer des choses nouvelles et laisser son empreinte. En plus, c’est un genre assez « libre ». On y a le droit d’inventer tout, d’innover.

Pour moi, le critère le plus important quand je note un livre, c’est l’originalité. Je suis tout le temps à la recherche des  livres peu banals, communs. J’admire l’imagination riche des certains auteurs.

Quelques mots sur moi :

Vous pouvez m'appeller Lirra. 

Je suis une élève.

J’adore apprendre les langues. Il est bien d’en connaitre. Mais dans mon cas je les apprends pour lire des livres. Toujours on perd une partie d’un livre traduit. Ce n’est jamais la même chose. Je connais le polonais (je vivais quelques années ne Pologne). Je suis en train d’apprendre sans relâche (ou presque) l’anglais. J’ai déjà pas mal progressé (je sais, je suis particulièrement modeste). J’ai commençais même à lire des livres. J’en suis fière. J’apprends aussi espagnol. J’ai à peine commencé l’année dernière.

 Mon plus grand rêve… C’est de devenir écrivain. Peut-être je n’ai aucun talent, mais cela ne m’empêche pas de rêver… Certainement c’est un rêve commun presque aux toutes personnes adorant les livres.

Pourquoi ? J’en rêve depuis que j’ai huit ans (ça fait déjà un peu…). Ce besoin de créer m’accompagne depuis ce temps-là. Créer quelque chose de nouveau. En plus les mots… On peut transmettre tant des choses avec leur aide. Ecrire, pour moi, est un plaisir. Non, une nécessité.

Surtout n’ayez pas peur de poser des questions. J’y répondrai volontairement. Vous pouvez bien sûr exprimer votre avis dans les commentaires et conseiller des nouvelles lectures.

MAIS je ne souhaite pas voir des hors sujets, et surtout des grossièretés. Je vous demande aussi de ne pas utiliser trop des abréviations, car personnellement je n’y comprends rien.

Je vous souhaite une bonne journée,

et à bientôt !